L’affaire fiscale des établissements Bouamatouou ce qui semble prendre l’allure d’un conflit qui opposerait en coulisses le célèbre homme d’affaires au pouvoir de Aziz, délie certaines langues mais pas celles auxquelles on pouvait s’attendre en pareilles circonstances.
A dessein, cette affaire a tout de suite été sortie de son contexte normal et routinier pour constituer, entre les mains expertes de certains manipulateurs professionnels pétris aux méthodes de nos médias officiels des années 80-90, une occasion inespérée de déstabiliser l’édifice Azizde l’intérieur en lui opposant ses propres cousins et amis.
Le jeu des faux défenseurs de Bouamatou dans cette affaire d’impôts est d’ailleurs visible à l’œil nu puisque nul ne parle du sujet en question, à savoir le redressement fiscal incriminé en essayant de mettre en évidence les lacunes ou les vices de forme ou de procédure qu’il comporte.
Tous n’ont qu’un seul mot à la bouche, les vertus de mécène de l’homme d’affaires, non sans rappeler à son adresse qu’il fut le bienfaiteur de celui qui chercherait aujourd’hui à le casser.
Une bien étrange manière de se servir de Bouamatou pour liquider Aziz mais cette entreprise diabolique doit désormais composer avec l’intelligence du patron de BSA et l’extraordinaire aptitude à résister à l’intoxication et à la manipulation qui sont les propres de tous les hommes d’affaires compétents.
Elle doit également composer avec le fait que, pour être projetées dans la durée, la fortune, la réputation et la position sociale de Bouamatou, qui sont antérieurs au pouvoir de Aziz, demeureront bien au-delà de celui-ci mais également au-delà de la portée des conflits qui l’opposent à certains marginaux dont la philosophie se fondent depuis la nuit des temps sur le principe Machiavélique de diviser pour régner.
En effet, la générosité de Ould Bouamatou, son patriotisme et le rôle qu’il a joué en 2009 pour contribuer à la stabilité du pays livré depuis 2007 aux démons deSidioca, de Zein Ould Zeidane et de Ould Waghef, n’ont pas besoin de témoignages controversés de quelques politiciens et pseudo intellectuels véreux qui cherchent aujourd’hui à trouver dans la division du clan présidentiel le moyen inespéré d’éliminer ses personnalités les plus en vue en les dressant les unes contre les autres.
Ceci est d’autant plus vrai que Ould Bouamatou n’a pas besoin de certificats de bonne conduite ni d’attestations sur fond de professions de foi pour faire valoir ses droits à un respect qu’on ne peut valablement lui contester tant que la valeur des hommes se mesure à l’aune de l’amour du pays et de la persévérance dans le travail.
La question qui se pose aujourd’hui est donc une affaire d’impôts dont la démesure peut porter à confusion sur les véritables mobiles qui se cacheraient derrière l’attitude de nos percepteurs. Pourquoi ne pas poser l’éventualité d’un coup fourré qu’un Premier Ministre, entouré d’une horde de conseillers aux reflexes humanoïdes, a planifié pour faire aboutir le plan inachevé de la succession de Aziz consécutif à la blessure du 13 Octobre 2012 ?
Pourquoi ne pas poser également l’éventualité d’une reprise en main des services fiscaux par la mafia anti Bouamatou du Club Lekniv qui a encore beaucoup d’hommes dans les rouages du ministère des Finances et beaucoup de raisons de penser que le meilleur moyen d’anéantir ses deux ennemis jurés, Aziz-Bouamatou, c’est de faire croire à chacun d’entre eux que l’autre subordonne ses moyens pour le liquider ?
Pourquoi ne pas admettre que l’exile volontaire de Bouamatou répond à des impératifs de développement plutôt qu’à des mobiles politiciens dont l’homme n’a ni le temps, ni le tempérament, ni le goût ? On a vu des hommes d’affaires délocaliser au Mali et en Gambie pour moins que ce dont on soupçonneBouamatou.
De toute façon, ni Bouamatou, ni Aziz n’ont intérêt à se donner en spectacle dans une arène où les laudateurs, les voyous politiques et intellectuels, les malfrats, les pilleurs des deniers publics, les esclavagistes et les fossoyeurs de la morale et de la démocratie tiennent les premières loges et où l’intérêt national se confond le plus souvent avec l’idée qu’on se fait de l’intérêt personnel ou au mieux de tribu.
M.S.Beheite
A dessein, cette affaire a tout de suite été sortie de son contexte normal et routinier pour constituer, entre les mains expertes de certains manipulateurs professionnels pétris aux méthodes de nos médias officiels des années 80-90, une occasion inespérée de déstabiliser l’édifice Azizde l’intérieur en lui opposant ses propres cousins et amis.
Le jeu des faux défenseurs de Bouamatou dans cette affaire d’impôts est d’ailleurs visible à l’œil nu puisque nul ne parle du sujet en question, à savoir le redressement fiscal incriminé en essayant de mettre en évidence les lacunes ou les vices de forme ou de procédure qu’il comporte.
Tous n’ont qu’un seul mot à la bouche, les vertus de mécène de l’homme d’affaires, non sans rappeler à son adresse qu’il fut le bienfaiteur de celui qui chercherait aujourd’hui à le casser.
Une bien étrange manière de se servir de Bouamatou pour liquider Aziz mais cette entreprise diabolique doit désormais composer avec l’intelligence du patron de BSA et l’extraordinaire aptitude à résister à l’intoxication et à la manipulation qui sont les propres de tous les hommes d’affaires compétents.
Elle doit également composer avec le fait que, pour être projetées dans la durée, la fortune, la réputation et la position sociale de Bouamatou, qui sont antérieurs au pouvoir de Aziz, demeureront bien au-delà de celui-ci mais également au-delà de la portée des conflits qui l’opposent à certains marginaux dont la philosophie se fondent depuis la nuit des temps sur le principe Machiavélique de diviser pour régner.
En effet, la générosité de Ould Bouamatou, son patriotisme et le rôle qu’il a joué en 2009 pour contribuer à la stabilité du pays livré depuis 2007 aux démons deSidioca, de Zein Ould Zeidane et de Ould Waghef, n’ont pas besoin de témoignages controversés de quelques politiciens et pseudo intellectuels véreux qui cherchent aujourd’hui à trouver dans la division du clan présidentiel le moyen inespéré d’éliminer ses personnalités les plus en vue en les dressant les unes contre les autres.
Ceci est d’autant plus vrai que Ould Bouamatou n’a pas besoin de certificats de bonne conduite ni d’attestations sur fond de professions de foi pour faire valoir ses droits à un respect qu’on ne peut valablement lui contester tant que la valeur des hommes se mesure à l’aune de l’amour du pays et de la persévérance dans le travail.
La question qui se pose aujourd’hui est donc une affaire d’impôts dont la démesure peut porter à confusion sur les véritables mobiles qui se cacheraient derrière l’attitude de nos percepteurs. Pourquoi ne pas poser l’éventualité d’un coup fourré qu’un Premier Ministre, entouré d’une horde de conseillers aux reflexes humanoïdes, a planifié pour faire aboutir le plan inachevé de la succession de Aziz consécutif à la blessure du 13 Octobre 2012 ?
Pourquoi ne pas poser également l’éventualité d’une reprise en main des services fiscaux par la mafia anti Bouamatou du Club Lekniv qui a encore beaucoup d’hommes dans les rouages du ministère des Finances et beaucoup de raisons de penser que le meilleur moyen d’anéantir ses deux ennemis jurés, Aziz-Bouamatou, c’est de faire croire à chacun d’entre eux que l’autre subordonne ses moyens pour le liquider ?
Pourquoi ne pas admettre que l’exile volontaire de Bouamatou répond à des impératifs de développement plutôt qu’à des mobiles politiciens dont l’homme n’a ni le temps, ni le tempérament, ni le goût ? On a vu des hommes d’affaires délocaliser au Mali et en Gambie pour moins que ce dont on soupçonneBouamatou.
De toute façon, ni Bouamatou, ni Aziz n’ont intérêt à se donner en spectacle dans une arène où les laudateurs, les voyous politiques et intellectuels, les malfrats, les pilleurs des deniers publics, les esclavagistes et les fossoyeurs de la morale et de la démocratie tiennent les premières loges et où l’intérêt national se confond le plus souvent avec l’idée qu’on se fait de l’intérêt personnel ou au mieux de tribu.
M.S.Beheite
Source : Mohamed Saleck
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