Le meurtrier d’un homme et d’une fille en 2004 dans une hutte sise dans un quartier d’El Mina vient de finir sa longue cavale dans la clandestinité de 8 ans, avant d’être récemment arrêté par la police dans le cadre d’une autre opération au terme de laquelle, il a créé la surprise en reconnaissant personnellement un crime que les flics ont fini par classer dans les tiroirs du commissariat, faute de trouver des éléments de conviction capables de les aider à mettre la main sur le bourreau.
Pour ceux qui s’en souviennent encore, à l’heure où l’internet n’était pas encore à ses grandes auditions et débits en Mauritanie, le double crime remonte à 2004 à El Mina, quand les policiers furent alertés par des familles se plaignant d’une odeur infecte qui se dégageait d’une cabane dressée dans les environs.
A son arrivée, la police découvre les corps en décomposition d’un homosexuel et d’une fille que le meurtrier avait tués et dissimilés dans un coin avant de prendre la poudre d’escampette qui allait le faire perdre de vue pendant presque une décennie. Selon des informations, l’enfant aurait rendu l’âme suite à un viol forcé.
Plusieurs années plus tard, cet abominable crime et ses horribles pensées qui hantaient les habitants des lieux du drame ont fini par se dissiper progressivement, classant la tragédie dans le domaine d’événements révolus qu’il vaut mieux oublier pour avoir la conscience tranquille.
Même quand la police a arrêté le meurtrier avec d’autres personnes, elle ne pensait pas avoir mis la main sur le bourreau de 2004 qui l’a affirmé de son propre gré de sa responsabilité de ce crime d’où son transfert au parquet pour décider d’un drame qu’il faut extraire des tiroirs de la police et relancer de nouveau pour que justice soit faite.
Pour ceux qui s’en souviennent encore, à l’heure où l’internet n’était pas encore à ses grandes auditions et débits en Mauritanie, le double crime remonte à 2004 à El Mina, quand les policiers furent alertés par des familles se plaignant d’une odeur infecte qui se dégageait d’une cabane dressée dans les environs.
A son arrivée, la police découvre les corps en décomposition d’un homosexuel et d’une fille que le meurtrier avait tués et dissimilés dans un coin avant de prendre la poudre d’escampette qui allait le faire perdre de vue pendant presque une décennie. Selon des informations, l’enfant aurait rendu l’âme suite à un viol forcé.
Plusieurs années plus tard, cet abominable crime et ses horribles pensées qui hantaient les habitants des lieux du drame ont fini par se dissiper progressivement, classant la tragédie dans le domaine d’événements révolus qu’il vaut mieux oublier pour avoir la conscience tranquille.
Même quand la police a arrêté le meurtrier avec d’autres personnes, elle ne pensait pas avoir mis la main sur le bourreau de 2004 qui l’a affirmé de son propre gré de sa responsabilité de ce crime d’où son transfert au parquet pour décider d’un drame qu’il faut extraire des tiroirs de la police et relancer de nouveau pour que justice soit faite.
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