Dans une interview accordée au journal La Sirène Hebdo, le président de IRA(Initiative de résurgence du mouvement abolitionniste), Birame Ould Dah Ould Abeid, a esquivé une question relative à la présumée tentative des dirigeants de la cellule de crise APP, en l’occurrenceSamory Ould Beye et Mohamed Ould Borboss, lesquels, selon le journal, seraient derrière la défection d’un certainChérif Ould Abeidy et d’un groupe de personnes qui avaient déclaré récemment avoir quitté IRA.
En effet, à la question de savoir ce qu’il pensait de l’information recueillie par La Sirène selon laquelle, la dernière défection de Chérif Ould Mohamed Abeidy et son groupe ne serait pas une action de sape du pouvoir mais d’un groupe de Harratine de l’opposition, Birame s’est contenté de répondre qu’il "n’y a aucun groupe, ni ancien ni récent, qui a quitté IRA, et ce jeune journaliste, chérif, que nous avons aidé en tant que tel, n’a jamais été de IRA, ni concerné par sa gestion, ni de près ni de loin, guère davantage que les inconnus qui paraît-il, sont apparus avec lui, au titre de la même prétention erronée ".
Ainsi, d’après Birame "si s’afficher avec des personnes prétendues de IRA devient un enjeu d’image à ce degré de notoriété, Ould Abdel Aziz ou d’autres nous délivrent ainsi et à leur corps défendant, une attestation d’authenticité". Même quand le journaliste insiste en soutenant : "nous comprenons que le pouvoir cherche à affaiblir IRA, c’est de bonne guerre, mais s’agissant d’un mouvement opposant comme APP-cellule de crise et de surcroît harratine, nous sommes interloqués ", Birame esquive encore en évitant soigneusement de se prononcer par rapport à cette information.
Il s’est contenté une fois de plus de préciser que "l’action de IRA n’est dirigée que contre le pouvoir et ses symboles " ou encore "nous n’avons aucun moment de diversion à consacrer aux marginaux par comparaison aux centres décisionnels et forces de l’oppression"soulignant tacitement que la cible véritable de IRA, c’est le pouvoir de Mohamed Ould Abdel Aziz.
Selon Birame, IRA ne se trompe pas d’adversaire et que son combat restera concentré sur le duel avec "le pouvoir prédateur de Mohamed Ould Abdel Aziz ". Et d’affirmer "nous vous assurons qu’il va s’effondrer dans cette lutte à mort qu’il nous livre et que nous lui livrons".
Dans cette interview, Birame a affirmé que le combat de IRA n’est pas exclusivement réservé aux Harratines. Autant le mouvement Ira est constitué de cadres des différentes communautés nationales, autant son combat est loin d’être sectaire. Il défend selon lui, aussi bien les Harratines, les Arabo-berbères que les Négro-africains. Il cite dans ce cadre le voyage d’Inal pour rendre hommages aux soldats négro-africains tués en 1991, la lutte contre l’esclavage qui a permis de libérer des dizaines de Harratine, son combat contre l’arbitraire qui a frappé les hommes politiques, les hauts fonctionnaires, les juges ou citoyens lambda de la communauté arabo-berbère…
JOB.
En effet, à la question de savoir ce qu’il pensait de l’information recueillie par La Sirène selon laquelle, la dernière défection de Chérif Ould Mohamed Abeidy et son groupe ne serait pas une action de sape du pouvoir mais d’un groupe de Harratine de l’opposition, Birame s’est contenté de répondre qu’il "n’y a aucun groupe, ni ancien ni récent, qui a quitté IRA, et ce jeune journaliste, chérif, que nous avons aidé en tant que tel, n’a jamais été de IRA, ni concerné par sa gestion, ni de près ni de loin, guère davantage que les inconnus qui paraît-il, sont apparus avec lui, au titre de la même prétention erronée ".
Ainsi, d’après Birame "si s’afficher avec des personnes prétendues de IRA devient un enjeu d’image à ce degré de notoriété, Ould Abdel Aziz ou d’autres nous délivrent ainsi et à leur corps défendant, une attestation d’authenticité". Même quand le journaliste insiste en soutenant : "nous comprenons que le pouvoir cherche à affaiblir IRA, c’est de bonne guerre, mais s’agissant d’un mouvement opposant comme APP-cellule de crise et de surcroît harratine, nous sommes interloqués ", Birame esquive encore en évitant soigneusement de se prononcer par rapport à cette information.
Il s’est contenté une fois de plus de préciser que "l’action de IRA n’est dirigée que contre le pouvoir et ses symboles " ou encore "nous n’avons aucun moment de diversion à consacrer aux marginaux par comparaison aux centres décisionnels et forces de l’oppression"soulignant tacitement que la cible véritable de IRA, c’est le pouvoir de Mohamed Ould Abdel Aziz.
Selon Birame, IRA ne se trompe pas d’adversaire et que son combat restera concentré sur le duel avec "le pouvoir prédateur de Mohamed Ould Abdel Aziz ". Et d’affirmer "nous vous assurons qu’il va s’effondrer dans cette lutte à mort qu’il nous livre et que nous lui livrons".
Dans cette interview, Birame a affirmé que le combat de IRA n’est pas exclusivement réservé aux Harratines. Autant le mouvement Ira est constitué de cadres des différentes communautés nationales, autant son combat est loin d’être sectaire. Il défend selon lui, aussi bien les Harratines, les Arabo-berbères que les Négro-africains. Il cite dans ce cadre le voyage d’Inal pour rendre hommages aux soldats négro-africains tués en 1991, la lutte contre l’esclavage qui a permis de libérer des dizaines de Harratine, son combat contre l’arbitraire qui a frappé les hommes politiques, les hauts fonctionnaires, les juges ou citoyens lambda de la communauté arabo-berbère…
JOB.
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