Sahara Medias - Les changements importants au sein de la première équipe gouvernementale du nouveau premier ministre Mohamed Salem O. Bechir que certains s’imaginaient ne sera pas pour tout de suite.
En effet la majorité des ministres de l’ancienne équipe de Yahya O. Hademine sont restés au sein du nouveau gouvernement, pour la plupart à leurs anciens postes, pour d’autres dans de nouvelles fonctions ministérielles.
La première surprise, dans ce nouveau gouvernement est la nomination au ministère de la défense du général de division Mohamed O. Mohamed Ahmed O. Gazouani, quelques semaines seulement après avoir bénéficié des ses droits à la retraite et son départ du poste de chef d’état major des armées.
Beaucoup de questions se posent autour de la nomination du général Gazouani à un poste ministériel, dans un gouvernement considéré provisoire, pour une courte durée, alors qu’il était pressenti pour succéder à l’actuel président, qui ne peut plus, selon la constitution, briguer un nouveau mandat présidentiel.
Seulement l’entrée de l’homme dans un gouvernement et le fait qu’il occupe désormais un poste politique peut être une étape appropriée pour se familiariser avec les conseils des ministres et donc côtoyer les civils en prévision éventuellement de futures fonctions présidentielles.
L’entrée du général Gazouani au gouvernement en exclut Diallo Mamadou Batia,que le président Mohamed O Abdel Aziz avait chargé d’une mission des plus compliquées ces dernières années : la restructuration du parti au pouvoir, l’UPR.
Batia considéré comme un spécialiste constitutionnel avait joué un rôle important dans l’élaboration et la présentation des derniers amendements constitutionnels, qu’il avait farouchement défendu devant le parlement, ce qui pourrait le prédestiner à occuper, dans les prochains jours ou les prochaines semaines, une responsabilité importante.
Le président de l’UPR, parti au pouvoir, Sidi Mohamed O. Maham revient de nouveau au gouvernement, au poste de ministre de la culture, de l’artisanat, des relations avec le parlement, porte parole officiel du gouvernement, un poste qu’il avait déjà occupé, avant de quitter le gouvernement, pour dit-on, des divergences avec l’ancien premier ministre, Yahya O. Hademine.
Le départ d’Ould Maham de la présidence du parti au pouvoir laisse vacant un poste convoité que le congrès de la formation politique, dans les prochains jours ou les prochaines semaines, devra pourvoir.
Autre départ de ce gouvernement, celui de Mohamed Lemine O. Cheikh, après quelques années porte-parole du gouvernement, une période des plus controversées dans l’histoire de cette fonction.
En quittant le gouvernement, il conserve cependant son poste de dirigeant au sein du parti au pouvoir, en attendant la tenue prochaine du conseil national de la formation politique.
Un autre départ à signaler celui de l’ancien ministre de l’équipement et des transports, Mohamed Abdallahi O. Oudaa qui avait dirigé la campagne électorale du parti au pouvoir au Trarza, une wilaya tombée dans sa presque totalité sous la coupole de l’UPR.
Une réussite qui pourrait lui ouvrir, selon certains analystes, soit de nouveau les portes de la SNIM dont le directeur général vient d’être choisi premier ministre, ou alors la présidence du parti.
Sur les 21 postes ministériels, 7 ont été confiés à des femmes, avec une seule entrée, celle de la nouvelle ministre de la jeunesse et des sports, qui succède à une autre femme, partie elle au ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille.
En effet la majorité des ministres de l’ancienne équipe de Yahya O. Hademine sont restés au sein du nouveau gouvernement, pour la plupart à leurs anciens postes, pour d’autres dans de nouvelles fonctions ministérielles.
La première surprise, dans ce nouveau gouvernement est la nomination au ministère de la défense du général de division Mohamed O. Mohamed Ahmed O. Gazouani, quelques semaines seulement après avoir bénéficié des ses droits à la retraite et son départ du poste de chef d’état major des armées.
Beaucoup de questions se posent autour de la nomination du général Gazouani à un poste ministériel, dans un gouvernement considéré provisoire, pour une courte durée, alors qu’il était pressenti pour succéder à l’actuel président, qui ne peut plus, selon la constitution, briguer un nouveau mandat présidentiel.
Seulement l’entrée de l’homme dans un gouvernement et le fait qu’il occupe désormais un poste politique peut être une étape appropriée pour se familiariser avec les conseils des ministres et donc côtoyer les civils en prévision éventuellement de futures fonctions présidentielles.
L’entrée du général Gazouani au gouvernement en exclut Diallo Mamadou Batia,que le président Mohamed O Abdel Aziz avait chargé d’une mission des plus compliquées ces dernières années : la restructuration du parti au pouvoir, l’UPR.
Batia considéré comme un spécialiste constitutionnel avait joué un rôle important dans l’élaboration et la présentation des derniers amendements constitutionnels, qu’il avait farouchement défendu devant le parlement, ce qui pourrait le prédestiner à occuper, dans les prochains jours ou les prochaines semaines, une responsabilité importante.
Le président de l’UPR, parti au pouvoir, Sidi Mohamed O. Maham revient de nouveau au gouvernement, au poste de ministre de la culture, de l’artisanat, des relations avec le parlement, porte parole officiel du gouvernement, un poste qu’il avait déjà occupé, avant de quitter le gouvernement, pour dit-on, des divergences avec l’ancien premier ministre, Yahya O. Hademine.
Le départ d’Ould Maham de la présidence du parti au pouvoir laisse vacant un poste convoité que le congrès de la formation politique, dans les prochains jours ou les prochaines semaines, devra pourvoir.
Autre départ de ce gouvernement, celui de Mohamed Lemine O. Cheikh, après quelques années porte-parole du gouvernement, une période des plus controversées dans l’histoire de cette fonction.
En quittant le gouvernement, il conserve cependant son poste de dirigeant au sein du parti au pouvoir, en attendant la tenue prochaine du conseil national de la formation politique.
Un autre départ à signaler celui de l’ancien ministre de l’équipement et des transports, Mohamed Abdallahi O. Oudaa qui avait dirigé la campagne électorale du parti au pouvoir au Trarza, une wilaya tombée dans sa presque totalité sous la coupole de l’UPR.
Une réussite qui pourrait lui ouvrir, selon certains analystes, soit de nouveau les portes de la SNIM dont le directeur général vient d’être choisi premier ministre, ou alors la présidence du parti.
Sur les 21 postes ministériels, 7 ont été confiés à des femmes, avec une seule entrée, celle de la nouvelle ministre de la jeunesse et des sports, qui succède à une autre femme, partie elle au ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille.
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Source : Sahara Medias (Mauritanie)
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