Sahara Medias - Le président mauritanien entreprend actuellement un plan destiné à réduire considérablement le nombre des partis de la majorité représentés au sein du nouveau parlement à travers l’intégration d’un grand nombre de ces formations au sein de l’union pour la république, le parti au pouvoir.
Selon des sources propres à Sahara Medias le président O. Abdel Aziz voudrait limiter ces formations politiques à seulement trois, aux côtés de l’UPR. Il s’agirait de l’union pour la démocratie et le progrès (UDP), le parti Al Karama et le mouvement de la jeunesse (Al Hirak).
Le chef de l’état a donné des instructions aux partis politiques qu’il voudrait voir absorbé par l’UPR, d’intégrer celui-ci afin qu’il puisse hériter de leurs élus, les députés, conseillers régionaux et les conseillers municipaux.
Les mêmes sources évoquent cependant la problématique du député Mohamed Lemine O. Sidi Maouloud, élu sous la bannière du parti Choura et développement qui s’est sabordé pour intégrer le parti au pouvoir, et qui n’a pas caché sa préférence pour l’opposition.
Les responsables du parti au pouvoir estiment que celui-ci est l’héritier légitime du parti qui l’a intégré et qu’en vertu du dialogue politique entre une partie de l’opposition et la majorité, le poste électif appartient à la formation politique et pas à la personne élue.
Dans une déclaration faite à Sahara Medias O. Sidi Maouloud avait dit que la décision de la formation politique sous la bannière de laquelle il a été élu ne l’engageait pas et qu’il déterminera son choix selon les dispositions de la loi.
Le nombre de partis politiques appartenant à la majorité dépasse les 75 partis et le plan échafaudé par le président O. Abdel Aziz vise à conserver toutes ces formations dans la coalition du pouvoir.
En héritant les élus de toutes les formations politiques intégrées à l’UPR, O. Abdel Aziz aurait donc élargi davantage la représentation de son parti, disposant déjà d’une majorité confortable à l’assemblée nationale.
Selon des sources propres à Sahara Medias le président O. Abdel Aziz voudrait limiter ces formations politiques à seulement trois, aux côtés de l’UPR. Il s’agirait de l’union pour la démocratie et le progrès (UDP), le parti Al Karama et le mouvement de la jeunesse (Al Hirak).
Le chef de l’état a donné des instructions aux partis politiques qu’il voudrait voir absorbé par l’UPR, d’intégrer celui-ci afin qu’il puisse hériter de leurs élus, les députés, conseillers régionaux et les conseillers municipaux.
Les mêmes sources évoquent cependant la problématique du député Mohamed Lemine O. Sidi Maouloud, élu sous la bannière du parti Choura et développement qui s’est sabordé pour intégrer le parti au pouvoir, et qui n’a pas caché sa préférence pour l’opposition.
Les responsables du parti au pouvoir estiment que celui-ci est l’héritier légitime du parti qui l’a intégré et qu’en vertu du dialogue politique entre une partie de l’opposition et la majorité, le poste électif appartient à la formation politique et pas à la personne élue.
Dans une déclaration faite à Sahara Medias O. Sidi Maouloud avait dit que la décision de la formation politique sous la bannière de laquelle il a été élu ne l’engageait pas et qu’il déterminera son choix selon les dispositions de la loi.
Le nombre de partis politiques appartenant à la majorité dépasse les 75 partis et le plan échafaudé par le président O. Abdel Aziz vise à conserver toutes ces formations dans la coalition du pouvoir.
En héritant les élus de toutes les formations politiques intégrées à l’UPR, O. Abdel Aziz aurait donc élargi davantage la représentation de son parti, disposant déjà d’une majorité confortable à l’assemblée nationale.
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Source : Sahara Medias (Mauritanie)
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