Adrar Info - Dans le cadre des vols touristiques hebdomadaires, Paris-Atar, programmés pour la saison touristique 2017-2018, un vol de la Mauritanie Airlines, vient pour la première fois, de débarquer ce samedi 10 mars, 125 touristes ,sur l’aéroport international d’Atar.
Deux autres vols clôturant la saison, seront également assurés par la société mauritanienne de transport aérien. Auparavant, le transport aérien des touristes entre la France et la Mauritanie était exclusivement assuré par la société Française ASL.
L’état mauritanien a investit des sommes colossales, pour se procurer les moyens techniques les plus sophistiqués, dont des avions, des bateaux, des véhicules tout terrain, des radars et entretenir des milliers d’officiers et de soldats, de l’armée et de la gendarmerie, qui bravent le froid glacial, les chaleurs torrides et les reliefs dunaires et montagneux infranchissables, pour assurer la sécurité sur l’ensemble du territoire national.
Il a, par ailleurs, pour encourager les voyagistes et Tours Opérateurs étrangers, à acheminer de nouveau, les touristes en Adrar, après les malheureux incidents d’Aleg en 2007, contribué à hauteur de 276 millions d’Ouguiyas au remplissage des vols charters hebdomadaires, qui assureraient la liaison directe Paris-Atar.
Tout comme, il a réduit le cout des visas de séjour et permit les facilités aux touristes de se les procurer à leur débarquement sur l’aéroport d’Atar.
Après deux mois, de reprise des vols touristiques sur Atar (fin décembre 2017, fin février 2018), constatant que les profits de ce tourisme étaient arbitrairement mal partagés, l’état mauritanien a convaincu (ou imposé) à ses partenaires voyagistes et tours opérateurs étrangers (qui se le sont dit à eux-mêmes) de changer de visibilité.
Ainsi, la société Mauritanie Airlines sera désormais, associée au transport aérien des touristes, entre Paris-Atar, permettant ainsi avec les gains qu’elle aura acquis, d’alimenter le trésor public de quelques Euros utiles.
La taxe d’hébergement, instituée par décret numéro 2000-03, du premier ministre, imposant le payement de 20UM par nuit passée par chaque touriste en Mauritanie, que d’aucuns détournaient ou refusaient de payer, a été intégralement versée aux services de l’office national du Tourisme (ONT) et donc augmenterait les recettes financières publiques de l’Etat.
D’autres mesures, ont, semble-t-il, étaient prises ou encore de l’être, pour que le profit du tourisme ,créneau économique le plus dynamique et le plus grand générateur d’emplois et de devises dans le monde , puisse booster l’économie et le développements du pays.
En raisonnant sous cette optique, espérons que l’état Mauritanien révisera en hausse, le budget du département du tourisme qui ne représente, cumulé avec les secteurs du commerce et de l’industrie, que 0,16 % du budget national (83.856.820 sur 51.842.639.400 ouguiyas), voire détacher un ministère chargé uniquement du tourisme.
Ely Salem Khayar
Adrar.Info
Deux autres vols clôturant la saison, seront également assurés par la société mauritanienne de transport aérien. Auparavant, le transport aérien des touristes entre la France et la Mauritanie était exclusivement assuré par la société Française ASL.
L’état mauritanien a investit des sommes colossales, pour se procurer les moyens techniques les plus sophistiqués, dont des avions, des bateaux, des véhicules tout terrain, des radars et entretenir des milliers d’officiers et de soldats, de l’armée et de la gendarmerie, qui bravent le froid glacial, les chaleurs torrides et les reliefs dunaires et montagneux infranchissables, pour assurer la sécurité sur l’ensemble du territoire national.
Il a, par ailleurs, pour encourager les voyagistes et Tours Opérateurs étrangers, à acheminer de nouveau, les touristes en Adrar, après les malheureux incidents d’Aleg en 2007, contribué à hauteur de 276 millions d’Ouguiyas au remplissage des vols charters hebdomadaires, qui assureraient la liaison directe Paris-Atar.
Tout comme, il a réduit le cout des visas de séjour et permit les facilités aux touristes de se les procurer à leur débarquement sur l’aéroport d’Atar.
Après deux mois, de reprise des vols touristiques sur Atar (fin décembre 2017, fin février 2018), constatant que les profits de ce tourisme étaient arbitrairement mal partagés, l’état mauritanien a convaincu (ou imposé) à ses partenaires voyagistes et tours opérateurs étrangers (qui se le sont dit à eux-mêmes) de changer de visibilité.
Ainsi, la société Mauritanie Airlines sera désormais, associée au transport aérien des touristes, entre Paris-Atar, permettant ainsi avec les gains qu’elle aura acquis, d’alimenter le trésor public de quelques Euros utiles.
La taxe d’hébergement, instituée par décret numéro 2000-03, du premier ministre, imposant le payement de 20UM par nuit passée par chaque touriste en Mauritanie, que d’aucuns détournaient ou refusaient de payer, a été intégralement versée aux services de l’office national du Tourisme (ONT) et donc augmenterait les recettes financières publiques de l’Etat.
D’autres mesures, ont, semble-t-il, étaient prises ou encore de l’être, pour que le profit du tourisme ,créneau économique le plus dynamique et le plus grand générateur d’emplois et de devises dans le monde , puisse booster l’économie et le développements du pays.
En raisonnant sous cette optique, espérons que l’état Mauritanien révisera en hausse, le budget du département du tourisme qui ne représente, cumulé avec les secteurs du commerce et de l’industrie, que 0,16 % du budget national (83.856.820 sur 51.842.639.400 ouguiyas), voire détacher un ministère chargé uniquement du tourisme.
Ely Salem Khayar
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Source : Adrar Info (Mauritanie)
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