Le ministres de la culture et de l’artisanat, porte- parole officiel du gouvernement, Mohamed Lemine Ould Cheikh, a commenté jeudi dernier, 8 février courant, aux côtés de certains de ses homologues du gouvernement mauritanien, les résultats du conseil des ministres, organisé en début de journée.
Un journaliste a posé pour la circonstance une question au ministre, sur les chances de formation d’un gouvernement d’union nationale, en perspective des triples élections municipales, législatives et régionales (conseillers), prévues au cours de l’année 2018.
La formation d’un gouvernement d’union nationale « n’est pas une question à l’ordre du jour », a dit, le ministre, affirmant que l’actuel équipe gouvernementale est unie et homogène et n’a pas donc cette alternative.
« Il n’ y a pas de crise la (formation) justifiant ni d'absence d’une majorité absolue », a-t-il dit, précisant à propos des garanties de transparence des élections, que ces dernières sont désormais régies par une CENI.
Et d’ajouter que « le gouvernement ne s’occupe plus de la gestion des élections et le ministère de l’intérieur ne supervise plus ces élections ».
« De même la CENI a été formée de façon consensuelle de la part de la majorité et de l’opposition qui a accepté d’être partie au dialogue avec cette majorité », a-t-il conclu.
©CRIDEM / 10 février 2018
Cridem, avec AMI
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Un journaliste a posé pour la circonstance une question au ministre, sur les chances de formation d’un gouvernement d’union nationale, en perspective des triples élections municipales, législatives et régionales (conseillers), prévues au cours de l’année 2018.
La formation d’un gouvernement d’union nationale « n’est pas une question à l’ordre du jour », a dit, le ministre, affirmant que l’actuel équipe gouvernementale est unie et homogène et n’a pas donc cette alternative.
« Il n’ y a pas de crise la (formation) justifiant ni d'absence d’une majorité absolue », a-t-il dit, précisant à propos des garanties de transparence des élections, que ces dernières sont désormais régies par une CENI.
Et d’ajouter que « le gouvernement ne s’occupe plus de la gestion des élections et le ministère de l’intérieur ne supervise plus ces élections ».
« De même la CENI a été formée de façon consensuelle de la part de la majorité et de l’opposition qui a accepté d’être partie au dialogue avec cette majorité », a-t-il conclu.
©CRIDEM / 10 février 2018
Cridem, avec AMI
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Source : Rédaction Cridem
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