Africanews - L’augmentation a été principalement tirée par l’Europe avec une augmentation de 8%, en particulier en Méditerranée. Cela est dû au niveau mondial de la reprise économique et à la forte demande de nombreux marchés émetteurs traditionnels et émergents “, a déclaré l’institution.
L’OMT a également souligné les bons résultats de l’Afrique avec une augmentation de 8%, souligne le rapport avec la “reprise” du tourisme en Egypte et en Tunisie, après une forte baisse les années précédentes due aux attaques terroristes.
Je suppose que ce retour au calme a aussi provoqué un afflux de touristes dans le Sahara mauritanien, c’est ce que nous allons voir. Au désert, les services de chameaux sont très demandés à cette période, notamment par les touristes français.
Après sept années de calme dans le secteur du tourisme en raison de l’insécurité, les voyageurs français sont de retour à Adrar, dans le nord-est du pays.
Les voyages organisés ont fait un retour remarquable depuis Noël. Ceci est principalement dû à la décision prise par le ministère français des Affaires étrangères en mars 2017 de faciliter la recommandation aux voyageurs sur cette partie du désert, qui était une destination touristique très populaire.
Ce changement est suffisant pour relancer les circuits, selon plusieurs agences françaises spécialisées dans les voyages d’aventure et pour les adeptes des destinations sahariennes.
Au milieu des années 2000, l’Adrar recevait jusqu‘à 14 000 visiteurs par an. Ceci est principalement dû aux liens historiques entre les deux pays – la Mauritanie est une ancienne colonie française. Mais la destination s’est effondrée avec la multiplication des attaques djihadistes et notamment le meurtre de quatre Français en 2007.
Le pays a été classé «zone rouge» par la France en 2010, la région est récemment revenue à une «zone orange», ce qui encourage certains tour-opérateurs à revenir.
Depuis Noël, des vols directs ont de nouveau été opérés de Paris à Atar, la capitale de la région.
Un rétablissement timide mais important pour l’Adrar. Avec la cessation du tourisme, l‘économie de la région s’est effondrée. Le grand défi est maintenant de prouver que la Mauritanie a fait les efforts nécessaires pour assurer la sécurité.
À cette fin, le secteur s’appuie sur les vastes dispositifs mis en place par les autorités. “On dit que des douzaines de gendarmes patrouillent les routes du circuit tout le temps.
A 80 km d’Atar, dans l’ancienne ville caravanière de Chinguetti, classée au du patrimoine mondial, les habitants attendaient avec impatience le retour des touristes.
Chinguetti ressemblait à une ville fantôme. Aujourd’hui, les ruelles sablonneuses de la vieille ville sont de nouveau vivantes.
Au début du mois de janvier, plus de 1000 personnes étaient déjà enregistrées pour des voyages organisés. Pour soutenir cette relance, l’Etat mauritanien contribue pour près de 350 000 euros à la location d’avions par Point-Afrique, selon l’Office mauritanien du tourisme.
Les spécialistes du secteur du tourisme espèrent que le retour des Français motivera d’autres nationalités.
L’OMT a également souligné les bons résultats de l’Afrique avec une augmentation de 8%, souligne le rapport avec la “reprise” du tourisme en Egypte et en Tunisie, après une forte baisse les années précédentes due aux attaques terroristes.
Je suppose que ce retour au calme a aussi provoqué un afflux de touristes dans le Sahara mauritanien, c’est ce que nous allons voir. Au désert, les services de chameaux sont très demandés à cette période, notamment par les touristes français.
Après sept années de calme dans le secteur du tourisme en raison de l’insécurité, les voyageurs français sont de retour à Adrar, dans le nord-est du pays.
Les voyages organisés ont fait un retour remarquable depuis Noël. Ceci est principalement dû à la décision prise par le ministère français des Affaires étrangères en mars 2017 de faciliter la recommandation aux voyageurs sur cette partie du désert, qui était une destination touristique très populaire.
Ce changement est suffisant pour relancer les circuits, selon plusieurs agences françaises spécialisées dans les voyages d’aventure et pour les adeptes des destinations sahariennes.
Au milieu des années 2000, l’Adrar recevait jusqu‘à 14 000 visiteurs par an. Ceci est principalement dû aux liens historiques entre les deux pays – la Mauritanie est une ancienne colonie française. Mais la destination s’est effondrée avec la multiplication des attaques djihadistes et notamment le meurtre de quatre Français en 2007.
Le pays a été classé «zone rouge» par la France en 2010, la région est récemment revenue à une «zone orange», ce qui encourage certains tour-opérateurs à revenir.
Depuis Noël, des vols directs ont de nouveau été opérés de Paris à Atar, la capitale de la région.
Un rétablissement timide mais important pour l’Adrar. Avec la cessation du tourisme, l‘économie de la région s’est effondrée. Le grand défi est maintenant de prouver que la Mauritanie a fait les efforts nécessaires pour assurer la sécurité.
À cette fin, le secteur s’appuie sur les vastes dispositifs mis en place par les autorités. “On dit que des douzaines de gendarmes patrouillent les routes du circuit tout le temps.
A 80 km d’Atar, dans l’ancienne ville caravanière de Chinguetti, classée au du patrimoine mondial, les habitants attendaient avec impatience le retour des touristes.
Chinguetti ressemblait à une ville fantôme. Aujourd’hui, les ruelles sablonneuses de la vieille ville sont de nouveau vivantes.
Au début du mois de janvier, plus de 1000 personnes étaient déjà enregistrées pour des voyages organisés. Pour soutenir cette relance, l’Etat mauritanien contribue pour près de 350 000 euros à la location d’avions par Point-Afrique, selon l’Office mauritanien du tourisme.
Les spécialistes du secteur du tourisme espèrent que le retour des Français motivera d’autres nationalités.
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Source : Africanews
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