Touche pas à ma nationalité et le groupe qui y est dissident ont, chacun, émis un communiqué, dont des copies sont parvenues à Alakhbar, fustigeant les déclarations de Ely Ould Mohamed Vall, ancien patron de la sûreté nationale deMauritanie en 1989, qui estime qu’"aucun citoyen mauritanien n'a été déporté" durant cette période.
Pourtant «entre 1990 et 1991 des soldats négro-mauritaniens sont torturés et 509 parmi trouvent la mort dans des conditions atroces... Ces crimes contre l'humanité étaient commis sous le régime de Taya alors que le patron de la sûreté nationale n'était autre que l'ex-président du CMJD Ely ould Mouhamed Vall. Nous qualifions cet acte comme un acte irresponsable et lâche», rappelle TPMN.
Dans le même sens les dissidents affirment que «fidèle à ses habitudes, Ely Ould Mohamed Vall s’est une nouvelle fois livré à son sport favori celui d’insulter la communauté negro-mauritanienne, et à travers elle, la Mauritanie. On se souvient tous en effet de ses sorties intempestives contre les réfugiés et les victimes de la tentative de génocide initiée par son patron d’antan, Ould Taya.»
Par conséquent, TPMN exige «qu’une loi reconnaissant le génocide contre les négro-mauritaniens soit votée au parlement et que des dispositions soient prises pour punir toute forme de négationnisme. Pour "touche pas à ma nationalité", la réconciliation ne peut se faire et ne se fera jamais sans le jugement des génocidaires.»
Et les dissidents de réclamer du régime de Ould Abdel Aziz «l’abrogation de la scélérate loi d’amnistie de 1993, le jugement de tous les responsables des crimes commis entre 1986 et 1991, la poursuite du retour des déportés mauritaniens restés au Sénégal et au Mali et de procéder, en concertation avec toutes les parties concernées, au règlement définitif du passif humanitaire.»
Pour rappel, le coordinateur de TPMN a publié dans la presse un communiqué portant composition d’un nouveau bureau de 19 membres secondés par des coordinateurs et délégués régionaux et internationaux. Un nouveau bureau qui sera remis en cause par un contre-communiqué de cadres et militants de TPMN dont certains siégeaient dans l’ancien bureau.
Pourtant «entre 1990 et 1991 des soldats négro-mauritaniens sont torturés et 509 parmi trouvent la mort dans des conditions atroces... Ces crimes contre l'humanité étaient commis sous le régime de Taya alors que le patron de la sûreté nationale n'était autre que l'ex-président du CMJD Ely ould Mouhamed Vall. Nous qualifions cet acte comme un acte irresponsable et lâche», rappelle TPMN.
Dans le même sens les dissidents affirment que «fidèle à ses habitudes, Ely Ould Mohamed Vall s’est une nouvelle fois livré à son sport favori celui d’insulter la communauté negro-mauritanienne, et à travers elle, la Mauritanie. On se souvient tous en effet de ses sorties intempestives contre les réfugiés et les victimes de la tentative de génocide initiée par son patron d’antan, Ould Taya.»
Par conséquent, TPMN exige «qu’une loi reconnaissant le génocide contre les négro-mauritaniens soit votée au parlement et que des dispositions soient prises pour punir toute forme de négationnisme. Pour "touche pas à ma nationalité", la réconciliation ne peut se faire et ne se fera jamais sans le jugement des génocidaires.»
Et les dissidents de réclamer du régime de Ould Abdel Aziz «l’abrogation de la scélérate loi d’amnistie de 1993, le jugement de tous les responsables des crimes commis entre 1986 et 1991, la poursuite du retour des déportés mauritaniens restés au Sénégal et au Mali et de procéder, en concertation avec toutes les parties concernées, au règlement définitif du passif humanitaire.»
Pour rappel, le coordinateur de TPMN a publié dans la presse un communiqué portant composition d’un nouveau bureau de 19 membres secondés par des coordinateurs et délégués régionaux et internationaux. Un nouveau bureau qui sera remis en cause par un contre-communiqué de cadres et militants de TPMN dont certains siégeaient dans l’ancien bureau.

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