Comme pour mettre les bouchées doubles, le gouvernement multiplie les projets décrets portant sur des projets de développement d’infrastructures des localités du pays.
Dans ce cadre plusieurs chantiers ont été lancés pour promouvoir la modernisation de villes de l’intérieur comme c’est le cas àRosso avec la construction de la nouvelle ville qui va abriter les locaux administratifs et dont les travaux sont en cours d’achèvement dans certains de leurs volets.
A Kaédi l’Etat compte élargir la ville et réhabiliter l’aéroport en augmentant les axes goudronnés pour changer l’image de cette capitale du Gorgol peuplée et riche en potentialités naturelles mais vouée à une déperdition urbaine avancée.
Lors du dernier conseil des ministres c’est la ville de Boutilimit et d’Akjouj qui vont bénéficier de ce programme de développement urbain destiné à doter ces localité d’infrastructures vitales pour le bien –être des populations. Kiffa n’est pas en reste avec le projet de construction d’une centrale mixte solaire et thermique en plus de la réalisation d’une adduction d’eau potable qui va couvrir des localités voisines.
Si toutes ces ambitions sont louables, elles restent encore tributaires de calculs politiques. En effet le pouvoir dispose de ses propres armes pour exercer une certaine forme de chantage politique surtout quand la situation se détériore au plan politique et social.
Dans les régimes précédents, bien de programmes ont été initiés et qui ne verront pas le jour faute de financements ou de détournements des fonds. Il faut relancer tous ces chantiers qui ont fait l’objet d’études et mêmes parfois des conventions de financements avec des partenaires étrangers au lieu de continuer à créer d’autres qui connaitront le même sort. Le développement n’est pas synonyme de projets sans fins mais de projets à finaliser
Amadou Diaara
Dans ce cadre plusieurs chantiers ont été lancés pour promouvoir la modernisation de villes de l’intérieur comme c’est le cas àRosso avec la construction de la nouvelle ville qui va abriter les locaux administratifs et dont les travaux sont en cours d’achèvement dans certains de leurs volets.
A Kaédi l’Etat compte élargir la ville et réhabiliter l’aéroport en augmentant les axes goudronnés pour changer l’image de cette capitale du Gorgol peuplée et riche en potentialités naturelles mais vouée à une déperdition urbaine avancée.
Lors du dernier conseil des ministres c’est la ville de Boutilimit et d’Akjouj qui vont bénéficier de ce programme de développement urbain destiné à doter ces localité d’infrastructures vitales pour le bien –être des populations. Kiffa n’est pas en reste avec le projet de construction d’une centrale mixte solaire et thermique en plus de la réalisation d’une adduction d’eau potable qui va couvrir des localités voisines.
Si toutes ces ambitions sont louables, elles restent encore tributaires de calculs politiques. En effet le pouvoir dispose de ses propres armes pour exercer une certaine forme de chantage politique surtout quand la situation se détériore au plan politique et social.
Dans les régimes précédents, bien de programmes ont été initiés et qui ne verront pas le jour faute de financements ou de détournements des fonds. Il faut relancer tous ces chantiers qui ont fait l’objet d’études et mêmes parfois des conventions de financements avec des partenaires étrangers au lieu de continuer à créer d’autres qui connaitront le même sort. Le développement n’est pas synonyme de projets sans fins mais de projets à finaliser
Amadou Diaara

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