Après les excuses présentées dans un document écrit adressé à l’opinion par le militant des droits de l’homme Biram Ould Dah Ould Abeidi au peuple mauritanien de l’acte d’incinération de livres malékites, il est du devoir des autorités sécuritaires et judiciaires de lui accorder la liberté, puisque « men taba taba Allahou Aleyhi » soit littéralement « celui qui se repent après avoir commis une injustice verra son repentir accepté par Allah. En effet, Allah est pardonneur et miséricordieux. [ Sourate 5 - verset 39 ] ». Dans le hadith « tous les hommes sont passibles de fautes et le meilleur d’entre eux est celui qui se repentit »
. A cette occasion « le véridique » online qui est confiant dans la justice mauritanienne et après l’abandon des hommes politiques de Biram quand ils l’ont poussé au péché, le laissant seul dans la prison affronter son destin, appelle les autorités habilitées à libérer l’homme.
L’affaire de Biram doit être tournée comme les pages qui l’ont précédées. L’opinion nationale et islamique ne demande pas plus à Biram que le pardon de ce vil acte. Ce qui est aujourd’hui chose faite.
Pour cette raison nous appelons à sa libération età son retour parmi les siens, implorant le président de la république, également président suprême de la magistrature de répondre positivement à cette demande qui traduit la tolérance des autorités suprêmes et constitue un clémence à tout celui qui commet un délit et appelle au pardon.
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