Ce qui devait arriver est arrivé. A force de courir vers les caméras, les micros et les médias, Biram a oublié la cause véritable des hratines pour ne penser qu’à son projet personnel : avoir sa place au soleil et entretenir une cour de nouveaux esclaves qui n’osent rien lui opposer.
Biram a tout essayé pour éclipser plus forts que lui en s’attaquant aveuglément à des gens qui devaient être se partenaires. Son arrivée sur la scène de la lutte contre l’esclavage n’a fait que diviser les combattants. Il a tout voulu concentrer sur sa personne et attaquant tous ceux qui pouvaient lui porter ombrage.
Avec sa dernière sortie contre Messaoud Ould Boulkheir et Boidiel Ould Houmeid surwww.kassataya.com, Biram Ould Dah est resté égal à lui-même : dire du mal gratuitement des autres, surtout ses ainés. Mais Biram Ould Dah est surtout resté fidèle à lui-même en tentant une fois de plus de nier des propos qu’il a clairement tenus et en donnant devant tout le monde la preuve de sa mauvaise foi et de sa légèreté.
Il a encore essayé de tromper les gens en disant qu’il ne l’a jamais dit, essayant encore de faire une nouvelle victime en la personne du talentueux et rigoureux Abdoulaye Diagana.
Biram doit savoir que quand on décide de porter un fardeau comme celui des hratines, on doit bien se préparer. Ceux que Biram essaie de salir par des propos diffamatoires, vils et insultants se sont bien préparés c’est pourquoi ils ont pu rendre beaucoup de services à leurs frères hratines.
Avec cet autodafé de livres religieux, le pyromane est encore piégé par les caméras et il prouve que l’instrument que ce personnage a créé (IRA) n’est là que pour ses ambitions personnelles. Et malgré les dénégations, il n’y a ni débat ni concertations au sein de IRA qui n’est qu’un instrument entre les mains d’un monsieur qui fait ce qu’il veut et qui a droit de vie et de mort sur tout militant qui ose mettre en cause sa parole sacrée.
Biram dit vouloir libérer ses frères mais il ne fait que les transformer en de nouveaux esclaves. Il faut le voir dans sa voiture escortée par des militants marchant sous le soleil et qui, n’ayant rien compris, font preuve de soumission à un calculateur qui leur promet le paradis. Triste : échapper à la domination des anciens maitres pour se faire esclavagiser par son propre frère ! Ah si on lui avait donné le poste qu’il avait demandé avant de créer son instrument personnel !!!
En ayant échoué malgré tous ses efforts, il tente le dernier coup de poker en allant bruler des livres contenant des passages du qur’an. Quelle imprudence ! Ce geste montre à quel pointBiram est instable, immature et dangereux surtout pour la cause des hratines. Les hratines ont fait avancer leur cause sans arrogance ni excès. Surtout sans jamais s’en prendre à la religion mais aussi sans jamais avaliser les passages qui encouragent l’esclavage. Ces passages s’appliquaient à d’autres époques et à d’autres contextes différents des nôtres.
Le combat demande de l’intelligence, de la patience et de la stratégie. Ce n’est pas en criant plus fort que les autres qu’on va avoir raison. Ce n’est pas en choquant qu’on va gagner notre combat. Voilà que Biram fait reculer la cause des hratines en les faisant passer pour des ignorants ennemis de l’islam. Comme quoi, le costume était trop grand pour un apprenti-révolutionnaire.
Les hratines ont bien lutté avant Biram. Ils continueront leur lutte sans cet aventurier irresponsable. On ne s’improvise pas leader. A bon entendeur salut.
Omar Ould Bilal
Biram a tout essayé pour éclipser plus forts que lui en s’attaquant aveuglément à des gens qui devaient être se partenaires. Son arrivée sur la scène de la lutte contre l’esclavage n’a fait que diviser les combattants. Il a tout voulu concentrer sur sa personne et attaquant tous ceux qui pouvaient lui porter ombrage.
Avec sa dernière sortie contre Messaoud Ould Boulkheir et Boidiel Ould Houmeid surwww.kassataya.com, Biram Ould Dah est resté égal à lui-même : dire du mal gratuitement des autres, surtout ses ainés. Mais Biram Ould Dah est surtout resté fidèle à lui-même en tentant une fois de plus de nier des propos qu’il a clairement tenus et en donnant devant tout le monde la preuve de sa mauvaise foi et de sa légèreté.
Il a encore essayé de tromper les gens en disant qu’il ne l’a jamais dit, essayant encore de faire une nouvelle victime en la personne du talentueux et rigoureux Abdoulaye Diagana.
Biram doit savoir que quand on décide de porter un fardeau comme celui des hratines, on doit bien se préparer. Ceux que Biram essaie de salir par des propos diffamatoires, vils et insultants se sont bien préparés c’est pourquoi ils ont pu rendre beaucoup de services à leurs frères hratines.
Avec cet autodafé de livres religieux, le pyromane est encore piégé par les caméras et il prouve que l’instrument que ce personnage a créé (IRA) n’est là que pour ses ambitions personnelles. Et malgré les dénégations, il n’y a ni débat ni concertations au sein de IRA qui n’est qu’un instrument entre les mains d’un monsieur qui fait ce qu’il veut et qui a droit de vie et de mort sur tout militant qui ose mettre en cause sa parole sacrée.
Biram dit vouloir libérer ses frères mais il ne fait que les transformer en de nouveaux esclaves. Il faut le voir dans sa voiture escortée par des militants marchant sous le soleil et qui, n’ayant rien compris, font preuve de soumission à un calculateur qui leur promet le paradis. Triste : échapper à la domination des anciens maitres pour se faire esclavagiser par son propre frère ! Ah si on lui avait donné le poste qu’il avait demandé avant de créer son instrument personnel !!!
En ayant échoué malgré tous ses efforts, il tente le dernier coup de poker en allant bruler des livres contenant des passages du qur’an. Quelle imprudence ! Ce geste montre à quel pointBiram est instable, immature et dangereux surtout pour la cause des hratines. Les hratines ont fait avancer leur cause sans arrogance ni excès. Surtout sans jamais s’en prendre à la religion mais aussi sans jamais avaliser les passages qui encouragent l’esclavage. Ces passages s’appliquaient à d’autres époques et à d’autres contextes différents des nôtres.
Le combat demande de l’intelligence, de la patience et de la stratégie. Ce n’est pas en criant plus fort que les autres qu’on va avoir raison. Ce n’est pas en choquant qu’on va gagner notre combat. Voilà que Biram fait reculer la cause des hratines en les faisant passer pour des ignorants ennemis de l’islam. Comme quoi, le costume était trop grand pour un apprenti-révolutionnaire.
Les hratines ont bien lutté avant Biram. Ils continueront leur lutte sans cet aventurier irresponsable. On ne s’improvise pas leader. A bon entendeur salut.
Omar Ould Bilal
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