A Son Excellence le Président de la République,
Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz,
J’ai l’honneur de m’adresser à votre auguste personne avec tout le respect requis pour vous faire part de l’injustice dont je suis victime et vous demander de me rendre justice pour les motifs qui suivent :
Je travaillais avec M.Moustapha Ould Abdellahi Ould Souidatt depuis plus de deux ans et nous sommes liés par un contrat de commercialisation de ma production en gravier dont je lui accorde l’exclusivité de la vente.
J’ai mon concasseur, mes camions, mes pelles, mes chargeurs, mon atelier mobile de réparation, mon groupe, j’avais tout ce matériel que j’ai installé avec mes propres moyens à la carrière à 60km de Nouadhibou que j’exploitais avec ma propre équipe composée de personnels mauritaniens.
Vu nos relations de travail, je me suis permis au moi de février 2012 de lui demander àMoustapha Ould Abdellahi Ould Souidatt de me prêter 40.000 €.
Il a accepté de m’accorder le prêt assorti de deux conditions : un intérêt de 20% et tout mon matériel comme garantie.
J’ai accepté les deux conditions, il m’a remis le montant de 40.000 € à Las Palmas de G.C.
Un mois et quelque plus tard de travail, j’ai décidé d’aller au Maroc avec un de mes associés pour acheter une machine qui va doubler notre production de gravier.
Pendant mon absence Moustapha Ould Abdellahi Ould Souidatt s’est déplacé avec une équipe vers notre chantier et a chassé avec brutalité mes employés y compris le gardien et a arraché toutes les clefs des voitures, du concasseur et de l’atelier mécanique, pelles, chargeurs.
Il a substitué notre équipe par son équipe en donnant des instructions fermes que personne ne devrait y accéder en particulier moi-même.
Mes employés m’ont informé et j’étais surpris de cet acte et je suis rentré en toute urgence.
A mon retour, j’ai voulu passer par mon chantier, ses gardiens mon empêché et j’étais rentré en discutions avec lui pour le moraliser et l’amener à respecter ses engagements. Tous mes efforts étaient vains. Je lui ai expliqué que ce patrimoine est la propriété de ma famille qui ne possède rien d’autre.
Quand je me suis rendu compte qu’il a commencé à vendre et à disposer de mes matériels, je me suis adresser à la cour, au Wali, au Procureur, la Direction Régionale de la Sureté, a la Gendarmerie.
Monsieur le Président,
Ma famille et moi ne possédons rien d’autre que ces biens pour une valeur de 700.000 €. Par cet acte Moustapha Ould Abdellahi Ould Souidatt a pulvérisé tous nos espoirs. Malgré que ce projet ne profitait mieux à lui qu’à nous autres.
Il s’est arrogé le droit de s’approprier un matériel d’une valeur de 700.000€ à la place de 40000 €. Je m’attendais qu’au pire des cas, il pouvait prendre le matériel en garantie, demander la vente d’une partie pour couvrir le montant dû.
Prendre 700.000€ pour 40.000€ c’est rejeter ma famille et la ruiner. Sur la base de ces motifs, je vous demande de me rendre justice et de me protéger.
Bref, je demande à ce qu’on me rende justice et faire triompher la loi et me rendre tout le matériel qui ont été ainsi spoliées, ce qui a eu pour conséquence notre réduction à la pauvreté ma famille et moi bien que je suis entièrement disposé à payer le montant initial en plus des intérêts convenus de 20%.
Dans l’attente d’une suite favorable, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mon profond respect.
Nouadhibou, le 24 avril 2012
José Francisco Santana Santos
Tél. 47 43 70 10
Investisseur Espagnol
Nouadhibou
Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz,
J’ai l’honneur de m’adresser à votre auguste personne avec tout le respect requis pour vous faire part de l’injustice dont je suis victime et vous demander de me rendre justice pour les motifs qui suivent :
Je travaillais avec M.Moustapha Ould Abdellahi Ould Souidatt depuis plus de deux ans et nous sommes liés par un contrat de commercialisation de ma production en gravier dont je lui accorde l’exclusivité de la vente.
J’ai mon concasseur, mes camions, mes pelles, mes chargeurs, mon atelier mobile de réparation, mon groupe, j’avais tout ce matériel que j’ai installé avec mes propres moyens à la carrière à 60km de Nouadhibou que j’exploitais avec ma propre équipe composée de personnels mauritaniens.
Vu nos relations de travail, je me suis permis au moi de février 2012 de lui demander àMoustapha Ould Abdellahi Ould Souidatt de me prêter 40.000 €.
Il a accepté de m’accorder le prêt assorti de deux conditions : un intérêt de 20% et tout mon matériel comme garantie.
J’ai accepté les deux conditions, il m’a remis le montant de 40.000 € à Las Palmas de G.C.
Un mois et quelque plus tard de travail, j’ai décidé d’aller au Maroc avec un de mes associés pour acheter une machine qui va doubler notre production de gravier.
Pendant mon absence Moustapha Ould Abdellahi Ould Souidatt s’est déplacé avec une équipe vers notre chantier et a chassé avec brutalité mes employés y compris le gardien et a arraché toutes les clefs des voitures, du concasseur et de l’atelier mécanique, pelles, chargeurs.
Il a substitué notre équipe par son équipe en donnant des instructions fermes que personne ne devrait y accéder en particulier moi-même.
Mes employés m’ont informé et j’étais surpris de cet acte et je suis rentré en toute urgence.
A mon retour, j’ai voulu passer par mon chantier, ses gardiens mon empêché et j’étais rentré en discutions avec lui pour le moraliser et l’amener à respecter ses engagements. Tous mes efforts étaient vains. Je lui ai expliqué que ce patrimoine est la propriété de ma famille qui ne possède rien d’autre.
Quand je me suis rendu compte qu’il a commencé à vendre et à disposer de mes matériels, je me suis adresser à la cour, au Wali, au Procureur, la Direction Régionale de la Sureté, a la Gendarmerie.
Monsieur le Président,
Ma famille et moi ne possédons rien d’autre que ces biens pour une valeur de 700.000 €. Par cet acte Moustapha Ould Abdellahi Ould Souidatt a pulvérisé tous nos espoirs. Malgré que ce projet ne profitait mieux à lui qu’à nous autres.
Il s’est arrogé le droit de s’approprier un matériel d’une valeur de 700.000€ à la place de 40000 €. Je m’attendais qu’au pire des cas, il pouvait prendre le matériel en garantie, demander la vente d’une partie pour couvrir le montant dû.
Prendre 700.000€ pour 40.000€ c’est rejeter ma famille et la ruiner. Sur la base de ces motifs, je vous demande de me rendre justice et de me protéger.
Bref, je demande à ce qu’on me rende justice et faire triompher la loi et me rendre tout le matériel qui ont été ainsi spoliées, ce qui a eu pour conséquence notre réduction à la pauvreté ma famille et moi bien que je suis entièrement disposé à payer le montant initial en plus des intérêts convenus de 20%.
Dans l’attente d’une suite favorable, veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de mon profond respect.
Nouadhibou, le 24 avril 2012
José Francisco Santana Santos
Tél. 47 43 70 10
Investisseur Espagnol
Nouadhibou
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