Sans aucun mandat d’arrêt, une unité de la police politique est venue arrêter le président de l’IRAdans son domicile. Les membres de ce qui apparait bien comme un « corps expéditionnaire »ont apeuré les populations de Riadh, brutalisé les militants et saccagé la maison de l’IRA, en blessant sa femmes et ses enfants, avant de l’arrêter de manière sauvage et inhumaine faisant fi de la loi.
Et dans une première du genre, la police a coupé l’électricité dans le quartier pour pouvoir sévir, dans l’obscurité totale, contre les militants deIRA qui ont formé un bouclier humain autour du président hors de surveillance. MonsieurBiram a accepté aussitôt de se soumettre à la police venue l’arrêter pour éviter l’inévitable.
Car malgré sa soumission, la police a continué à bombarder la maison et ses alentours de gaz lacrymogène et les balles en caoutchouc, s’saccageant ainsi toute la maison et blessant des dizaines de militants, avant de prendre trois militants de l’IRA, dont le président, pour les conduire vers une direction inconnue jusqu'à présent.
Ainsi IRA – Mauritanie :
• Considère que Monsieur Biram Ould Dah Ould Abeid et ses camardes, sont des prisonniers d’opinion et exige leur libération immédiate et sans conditions ;
• Exprime sa surprise de l’excès face à l’utilisation de la force contre les dirigeants de l’organisation et réitère son engagement à l’utilisation de style pacifique de protestation pour la libération de son président ;
• Lance un appel pressant à la communauté internationale, aux organisations des droits de l’homme pour faire pression sur le régime raciste de Mauritanie pour libérer le présidentBiram et ses camardes ;
• Exhorte ses militants à se ressaisir et à ne pas répondre aux provocations racistes que l’Etat des maures utilise pour régler son compte avec IRA.
Le Bureau Exécutif
29/ 04/ 2012
Et dans une première du genre, la police a coupé l’électricité dans le quartier pour pouvoir sévir, dans l’obscurité totale, contre les militants deIRA qui ont formé un bouclier humain autour du président hors de surveillance. MonsieurBiram a accepté aussitôt de se soumettre à la police venue l’arrêter pour éviter l’inévitable.
Car malgré sa soumission, la police a continué à bombarder la maison et ses alentours de gaz lacrymogène et les balles en caoutchouc, s’saccageant ainsi toute la maison et blessant des dizaines de militants, avant de prendre trois militants de l’IRA, dont le président, pour les conduire vers une direction inconnue jusqu'à présent.
Ainsi IRA – Mauritanie :
• Considère que Monsieur Biram Ould Dah Ould Abeid et ses camardes, sont des prisonniers d’opinion et exige leur libération immédiate et sans conditions ;
• Exprime sa surprise de l’excès face à l’utilisation de la force contre les dirigeants de l’organisation et réitère son engagement à l’utilisation de style pacifique de protestation pour la libération de son président ;
• Lance un appel pressant à la communauté internationale, aux organisations des droits de l’homme pour faire pression sur le régime raciste de Mauritanie pour libérer le présidentBiram et ses camardes ;
• Exhorte ses militants à se ressaisir et à ne pas répondre aux provocations racistes que l’Etat des maures utilise pour régler son compte avec IRA.
Le Bureau Exécutif
29/ 04/ 2012
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