Dakar - Les président mauritanien et malien, membres du comité de médiateurs africains sur la crise libyenne, ne participeront pas aux réunions de l'Union africaine (UA) sur la Libye prévues jeudi et vendredi à Addis Abeba, a appris l'AFP de sources officielles à Nouakchott et Bamako.
Le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz sera représenté par son ministre des Affaires étrangères (Hamadi Ould Hamadi), qui se trouve déjà sur place, a déclaré à l'AFP, sans plus de détails, un haut responsable mauritanien qui a souhaité garder l'anonymat.
Le chef de l'Etat malien Amadou Toumani Touré ne fera pas le déplacement à Addis Abeba, mais il y aura une forte délégation qui y sera, le ministre des Affaires étrangères (Soumeylou Boubèye Maïga) en fera partie, a affirmé un diplomate joint au ministère malien des Affaires étrangères, refusant de s'exprimer sur les raisons de l'absence du président et la composition de la délégation malienne.
Le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz sera représenté par son ministre des Affaires étrangères (Hamadi Ould Hamadi), qui se trouve déjà sur place, a déclaré à l'AFP, sans plus de détails, un haut responsable mauritanien qui a souhaité garder l'anonymat.
Le chef de l'Etat malien Amadou Toumani Touré ne fera pas le déplacement à Addis Abeba, mais il y aura une forte délégation qui y sera, le ministre des Affaires étrangères (Soumeylou Boubèye Maïga) en fera partie, a affirmé un diplomate joint au ministère malien des Affaires étrangères, refusant de s'exprimer sur les raisons de l'absence du président et la composition de la délégation malienne.
Jointe par l'AFP, la présidence malienne n'a pas démenti cette information mais n'a pas fourni d'explication.
L'Agence mauritanienne d'information (AMI, officielle) a rapporté que MM. Abdel Aziz etTouré avaient eu un entretien téléphonique mercredi mais a précisé qu'il avait porté sur les relations entre les deux pays.
Le président mauritanien dirige le panel des médiateurs de l'UA, comprenant aussi le MalienAmadou Toumani Touré, le Congolais Denis Sassou Nguesso, l'Ougandais Yoweri Museveni et le Sud-Africain Jacob Zuma.
Selon le porte-parole de la commission de l'UA, Noureddine Mezni, l'organisation panafricaine devait organiser jeudi une réunion du comité des médiateurs de l'UA sur la crise libyenne suivie vendredi d'un mini-sommet des chefs d'Etat du Conseil de paix et de sécurité de l'UA sur la situation en Libye.
Depuis le début de la rébellion libyenne, mi-février, l'UA a prôné une issue politique négociée au conflit, demandant à plusieurs reprises, en vain, l'arrêt des bombardements de l'Otan sur laLibye.
Depuis la chute de Mouammar Kadhafi, le président Ould Abdel Aziz ne s'est pas publiquement exprimé sur le sujet mais son parti, l'Union pour la République (UPR), a félicité lundi le peuple libyen pour sa victoire totale et invité les Libyens à faire preuve de retenue et à prôner le pardon et la réconciliation.
En juin, le président mauritanien avait estimé que Mouammar Kadhafi ne pouvait plus diriger la Libye et que son départ du pouvoir était devenu une nécessité.
Mais le 6 août, il avait écarté toute reconnaissance par la Mauritanie du Conseil national de transition (CNT), instance dirigeante de la rébellion libyenne, tout en se disant prêt à aider le peuple libyen à organiser des élections dans le cadre d'une solution politique négociée.
Au Mali, le président Touré n'a pas non plus fait de déclaration publique sur le dossier libyen depuis la chute de Mouammar Kadhafi, qui avait beaucoup investi dans son pays et dont il était considéré comme un proche.
Mais mercredi, le gouvernement malien a déclaré sa solidarité avec le peuple libyen et appelé à l'arrêt des hostilités sur l'ensemble du territoire libyen en vue de mettre fin aux souffrances du peuple libyen.
L'Agence mauritanienne d'information (AMI, officielle) a rapporté que MM. Abdel Aziz etTouré avaient eu un entretien téléphonique mercredi mais a précisé qu'il avait porté sur les relations entre les deux pays.
Le président mauritanien dirige le panel des médiateurs de l'UA, comprenant aussi le MalienAmadou Toumani Touré, le Congolais Denis Sassou Nguesso, l'Ougandais Yoweri Museveni et le Sud-Africain Jacob Zuma.
Selon le porte-parole de la commission de l'UA, Noureddine Mezni, l'organisation panafricaine devait organiser jeudi une réunion du comité des médiateurs de l'UA sur la crise libyenne suivie vendredi d'un mini-sommet des chefs d'Etat du Conseil de paix et de sécurité de l'UA sur la situation en Libye.
Depuis le début de la rébellion libyenne, mi-février, l'UA a prôné une issue politique négociée au conflit, demandant à plusieurs reprises, en vain, l'arrêt des bombardements de l'Otan sur laLibye.
Depuis la chute de Mouammar Kadhafi, le président Ould Abdel Aziz ne s'est pas publiquement exprimé sur le sujet mais son parti, l'Union pour la République (UPR), a félicité lundi le peuple libyen pour sa victoire totale et invité les Libyens à faire preuve de retenue et à prôner le pardon et la réconciliation.
En juin, le président mauritanien avait estimé que Mouammar Kadhafi ne pouvait plus diriger la Libye et que son départ du pouvoir était devenu une nécessité.
Mais le 6 août, il avait écarté toute reconnaissance par la Mauritanie du Conseil national de transition (CNT), instance dirigeante de la rébellion libyenne, tout en se disant prêt à aider le peuple libyen à organiser des élections dans le cadre d'une solution politique négociée.
Au Mali, le président Touré n'a pas non plus fait de déclaration publique sur le dossier libyen depuis la chute de Mouammar Kadhafi, qui avait beaucoup investi dans son pays et dont il était considéré comme un proche.
Mais mercredi, le gouvernement malien a déclaré sa solidarité avec le peuple libyen et appelé à l'arrêt des hostilités sur l'ensemble du territoire libyen en vue de mettre fin aux souffrances du peuple libyen.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire