Aujourd'hui, 9 août 2011, il est pratiquement impossible d'obtenir un examen- radio UIV, dans nos trois hôpitaux nationaux. Et pour cause. A l'hôpital Cheikh Zayd, la machine est en panne depuis bientôt deux ans, nous a appris un radiologue de ce grand établissement de la banlieue;
à l'hôpital national, les secrétaires d'accueil nous ont indiqué que le seul technicien apte à effectuer cette prestation est en Oumra et ne rentrera pas avant la fin du mois de Ramadan;
enfin, à hôpital Sadagha, situé à Arafat, un établissement flambant neuf, inauguré, à l'occasion de notre cinquantenaire, par le Premier ministre, un technicien du service nous a appris que la machine est en panne depuis quelque temps et qu'on s'y affaire pour réparation.
à l'hôpital national, les secrétaires d'accueil nous ont indiqué que le seul technicien apte à effectuer cette prestation est en Oumra et ne rentrera pas avant la fin du mois de Ramadan;
enfin, à hôpital Sadagha, situé à Arafat, un établissement flambant neuf, inauguré, à l'occasion de notre cinquantenaire, par le Premier ministre, un technicien du service nous a appris que la machine est en panne depuis quelque temps et qu'on s'y affaire pour réparation.
Pour ceux qui l'ignorent, cet examen permet de confirmer une orientation livrée par l'échographie, notamment au niveau des reins. Selon un médecin spécialisé en urologie, l'UIV permet de choisir entre opération chirurgicale et médication, pour éliminer des calculs rénaux.
Pourtant, les pouvoirs publics claironnent, sur tous les toits, que nos structures de santé disposent d'un personnel suffisant, qualifié et bien équipé. Allez savoir! Et ne vous étonnez pas: nous sommes dans une Mauritanie Nouvelle en (dé)construction
Pourtant, les pouvoirs publics claironnent, sur tous les toits, que nos structures de santé disposent d'un personnel suffisant, qualifié et bien équipé. Allez savoir! Et ne vous étonnez pas: nous sommes dans une Mauritanie Nouvelle en (dé)construction
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