Monsieur Le Président,
L'un des principaux motifs que vous aviez soulevé, lors du changement politique d'Août 2005, fort justement, avait été le retour, par le biais de Sidi Ould Cheikh Abdallahi et son premier ministreOuld Waghf, de la continuité du régime d'Ould Taya. Lequel vous l'avez évincé en 2005.
A cet égard, je me suis trouvé tout à coup interpellé par l'actualité politique du pays. Notamment par la complaisance que joue Boidiel Ould Houmeid, et le pseudo altruisme politique deMoussa Fall. Lesquels m'obligent à faire un certain nombre de constats.
De prime abord, ne soyez pas Monsieur Le Président, comme l'exprime l'adage populaire, à l'image du scribe égyptien: une main qui écrit et l'autre qui efface.
L'un des principaux motifs que vous aviez soulevé, lors du changement politique d'Août 2005, fort justement, avait été le retour, par le biais de Sidi Ould Cheikh Abdallahi et son premier ministreOuld Waghf, de la continuité du régime d'Ould Taya. Lequel vous l'avez évincé en 2005.
A cet égard, je me suis trouvé tout à coup interpellé par l'actualité politique du pays. Notamment par la complaisance que joue Boidiel Ould Houmeid, et le pseudo altruisme politique deMoussa Fall. Lesquels m'obligent à faire un certain nombre de constats.
De prime abord, ne soyez pas Monsieur Le Président, comme l'exprime l'adage populaire, à l'image du scribe égyptien: une main qui écrit et l'autre qui efface.
Entendez cela comme une main qui écrit l'histoire politique nouvelle de tout un pays et faisant table rase de tout un passé politique combien vomit, tout comme combien sont vomis ses continuateurs.
L'histoire politique nous enseigne que le retour aux sources honnies n'est pas le meilleur exemple.
Quel que soit l'impasse que traverse la recherche d'un dialogue avec l'opposition, il n'est pas permis, Monsieur Le Président de jouer à la facilité. Ne faites pas de Boydiel et de Moussa Fall des symboles qu'ils ne sont pas!
Il est préférable pour vous un échec de ce dialogue, que de faire de ceux-là des partenaires qu'ils ne sont pas.Les 100 millions que vous avez restitué au premier ne doivent pas être le gage d'un scénario improvisé pour montrer à l'opinion nationale et internationale que le dialogue politique est bien là. Alors qu'il n'en est rien.
Ces personnages n'ont plus rien à perdre. Ils voudraient bien revenir, comme le collier du chien, assez proche qu'il ne puisse le délier. Tenter de près ce qu'ils n'avaient pu réaliser en août 2008 (votre destitution et leur lutte contre tout changement politique, etc.) Monsieur Le Président, n'ayez pas la mémoire courte!
Cherchez une issue avec l'opposition réelle. Je ne vous déconseille pas de manœuvrer pour prendre le dessus, ce sera de bonne guerre. Mais on ne dira pas une victoire sur des symboles d'un pouvoir combattu hier, mais prêts aujourd'hui à jouer le jeu du pouvoir.
De cela découlera, des concessions politiques à ceux-là, donc un retour, d'une manière ou d'une autre, aux affaires. Et rebelote! Hélas, vous n'êtes pas sortis de l'auberge.
La réussite provoquée d'un dialogue n'est pas à la mesure des perspectives qui vous attendent au virage. Ces acteurs là ont trop joué. Le casting est prévu généralement pour du neuf.
Le Clerc voyant.
L'histoire politique nous enseigne que le retour aux sources honnies n'est pas le meilleur exemple.
Quel que soit l'impasse que traverse la recherche d'un dialogue avec l'opposition, il n'est pas permis, Monsieur Le Président de jouer à la facilité. Ne faites pas de Boydiel et de Moussa Fall des symboles qu'ils ne sont pas!
Il est préférable pour vous un échec de ce dialogue, que de faire de ceux-là des partenaires qu'ils ne sont pas.Les 100 millions que vous avez restitué au premier ne doivent pas être le gage d'un scénario improvisé pour montrer à l'opinion nationale et internationale que le dialogue politique est bien là. Alors qu'il n'en est rien.
Ces personnages n'ont plus rien à perdre. Ils voudraient bien revenir, comme le collier du chien, assez proche qu'il ne puisse le délier. Tenter de près ce qu'ils n'avaient pu réaliser en août 2008 (votre destitution et leur lutte contre tout changement politique, etc.) Monsieur Le Président, n'ayez pas la mémoire courte!
Cherchez une issue avec l'opposition réelle. Je ne vous déconseille pas de manœuvrer pour prendre le dessus, ce sera de bonne guerre. Mais on ne dira pas une victoire sur des symboles d'un pouvoir combattu hier, mais prêts aujourd'hui à jouer le jeu du pouvoir.
De cela découlera, des concessions politiques à ceux-là, donc un retour, d'une manière ou d'une autre, aux affaires. Et rebelote! Hélas, vous n'êtes pas sortis de l'auberge.
La réussite provoquée d'un dialogue n'est pas à la mesure des perspectives qui vous attendent au virage. Ces acteurs là ont trop joué. Le casting est prévu généralement pour du neuf.
Le Clerc voyant.
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