Les habitants de la capitale Nouakchottdorment chaque jour avec la peur au ventre. Leur crainte : des pluies diluviennes qui emporteront leurs habitats. Chaque année à pareille période les craintes sont les mêmes.
Le plus grave est que certaines rues dans quelques quartiers de Nouakchott sont encore impraticables du fait des pluies de l’année dernière. L’exemple le plus éloquent est celui de la socogim PS dont les habitants pataugent encore dans les eaux nauséabondes des pluies de l’année dernière. La visite présidentielle n’a pas apporté la solution miracle dont s’attendaient les populations.
" Rien à faire " avait dit Ould Abdel Aziz face au désastre. C’est que la ville de Nouakchottest allergique à la pluie. Parce que, tout simplement, rien n’a été, fait pour prévenir les pluies qui s’abattent souvent sur la capitale. Les conduites d’évacuation des eaux sont inexistantes.
Le plus grave est que certaines rues dans quelques quartiers de Nouakchott sont encore impraticables du fait des pluies de l’année dernière. L’exemple le plus éloquent est celui de la socogim PS dont les habitants pataugent encore dans les eaux nauséabondes des pluies de l’année dernière. La visite présidentielle n’a pas apporté la solution miracle dont s’attendaient les populations.
" Rien à faire " avait dit Ould Abdel Aziz face au désastre. C’est que la ville de Nouakchottest allergique à la pluie. Parce que, tout simplement, rien n’a été, fait pour prévenir les pluies qui s’abattent souvent sur la capitale. Les conduites d’évacuation des eaux sont inexistantes.
Une seule goutte d’eau qui tomberait du ciel, peut suffire pour que les paisibles populations deNouakchott comme celles de Sebkha, Kouva ,de Basra, Dar naim, Socogim PS et même les locataires du centre de la capitale crient à l’inondation. D’ailleurs, beaucoup de gens qui habitent ces quartiers périphériques, ont déjà commencé à plier bagages pour aller s’installer àToujounine, à Arafat à Teyarett, en attendant la fin de la saison des pluies.
Chaque année et à chaque pluie c’est la meme chose l’asphalte a disparu sous les eaux saumâtre, plus de moyens de pouvoir contourner les grosses marres gonflée par les eaux de cette dernière averse matinale Les habitants de plusieurs quartiers périphériques, notammentElmina et Sebkha sont pris en otage par l’eau et chacun fait comme il peut pour se défaire de l’emprise des ruissellement ayant très vite investi les habitations.
Les marchés, les commerces, les grands axes, deviennent inaccessibles pour les nouakchottois, plutôt habitués à la sécheresse du désert. C’est à se demander si l’assainissement est vraiment une préoccupation de ces autorités. En tout cas il est permis d’en douter car, pendant que les citoyens souffrent des eaux de ruissellement et des ordures emportées par les pluies, laissant pendre une épée de Damoclès sur leur santé, les municipalités soutiennent n’avoir pas assez de moyens pour intervenir.
Il est vrai que la Communauté Urbaine de Nouakchott (CUN) déploie de gros efforts pour assister les populations dans l’évacuation des ordures, mais ces efforts risquent de rester vains si elle ne s’attelle pas à construire un réseau d’assainissement. La ville ne dispose pas de réseau d’évacuation des eaux usées et de ruissellement. Un projet en ce sens doit être réalisé en trois ans.
La réalisation de ce réseau d’assainissement pour 199 millions de dollars s’inscrit dans le cadre de la coopération entre la Mauritanie et la Chine. On va encore attendre longtemps.
Chaque année et à chaque pluie c’est la meme chose l’asphalte a disparu sous les eaux saumâtre, plus de moyens de pouvoir contourner les grosses marres gonflée par les eaux de cette dernière averse matinale Les habitants de plusieurs quartiers périphériques, notammentElmina et Sebkha sont pris en otage par l’eau et chacun fait comme il peut pour se défaire de l’emprise des ruissellement ayant très vite investi les habitations.
Les marchés, les commerces, les grands axes, deviennent inaccessibles pour les nouakchottois, plutôt habitués à la sécheresse du désert. C’est à se demander si l’assainissement est vraiment une préoccupation de ces autorités. En tout cas il est permis d’en douter car, pendant que les citoyens souffrent des eaux de ruissellement et des ordures emportées par les pluies, laissant pendre une épée de Damoclès sur leur santé, les municipalités soutiennent n’avoir pas assez de moyens pour intervenir.
Il est vrai que la Communauté Urbaine de Nouakchott (CUN) déploie de gros efforts pour assister les populations dans l’évacuation des ordures, mais ces efforts risquent de rester vains si elle ne s’attelle pas à construire un réseau d’assainissement. La ville ne dispose pas de réseau d’évacuation des eaux usées et de ruissellement. Un projet en ce sens doit être réalisé en trois ans.
La réalisation de ce réseau d’assainissement pour 199 millions de dollars s’inscrit dans le cadre de la coopération entre la Mauritanie et la Chine. On va encore attendre longtemps.
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