De source informée, le dialogue politique entre la majorité et certaines formations politiques de l’opposition démocratique débutera le dimanche prochain 28 août aupalais des congrès de Nouakchott. Une cérémonie officielle marquée par un discours du chef de l’Etat et deux allocutions de la majorité et de l’opposition.
Au cours des travaux, les deux structures politiques demanderont un report des élections législatives et municipales. Une requête à laquelle le gouvernement répondra favorablement au cours des deux ou trois jours qui suivent le commencement des négociations.
Il est prévu que les partis de l’APP, d’El Wiam et de Hamam annoncent officiellement leur disposition à aller au dialogue ce mardi 23 août au cours d’une conférence de presse qui sera organisée à 22 heures 30 à l’Hôtel Emira.
Au cours des travaux, les deux structures politiques demanderont un report des élections législatives et municipales. Une requête à laquelle le gouvernement répondra favorablement au cours des deux ou trois jours qui suivent le commencement des négociations.
Il est prévu que les partis de l’APP, d’El Wiam et de Hamam annoncent officiellement leur disposition à aller au dialogue ce mardi 23 août au cours d’une conférence de presse qui sera organisée à 22 heures 30 à l’Hôtel Emira.
D’autres formations politiques notamment Tawassoul devraient en principe rejoindre le groupe de la COD favorable au dialogue. La rencontre du vice Président de Tawassoul Mohamed Koulam Ould Hadj Cheikh avec le PM, jugée de positive présage de cette attitude.
Les deux autres grandes formations de l’opposition, le RFD et l’UFP maintiennent toujours les cinq préalables contenus dans le document amendé de la COD comme conditions à remplir avant d’entamer un quelconque dialogue.
A cause de ses divergences, la coordination de l’opposition démocratique se fragilise et semble aller selon certains analystes vers un éclatement inévitable. Les jours à venir édifieront sur l’opportunité ou non d’avoir décidé d’engager précipitamment un dialogue politique national sur le principe et la nécessité desquels toute la classe politique était pourtant d’accord ?
Les deux autres grandes formations de l’opposition, le RFD et l’UFP maintiennent toujours les cinq préalables contenus dans le document amendé de la COD comme conditions à remplir avant d’entamer un quelconque dialogue.
A cause de ses divergences, la coordination de l’opposition démocratique se fragilise et semble aller selon certains analystes vers un éclatement inévitable. Les jours à venir édifieront sur l’opportunité ou non d’avoir décidé d’engager précipitamment un dialogue politique national sur le principe et la nécessité desquels toute la classe politique était pourtant d’accord ?
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